Collection Libertinages. Les Chambres D’Hôtes (1/2)

Paul et moi venons de finir les travaux de ce qui a constitué mon héritage familial, à savoir la maison de mes parents qui se trouve en Touraine près d’un célèbre château.
Pour venir chez nous il suffit de tourner à gauche après le château mondialement connu.
Vous suivez le grand mur d’enceinte et quand il se termine, vous tournez à gauche, après 200 mètres au milieu du bois domanial vous tournez à droite et vous êtes obligé de tomber sur notre maison.
Je devrais dire propriété car en plus de la demeure principale où j’ai vécu étant jeune qui est en parfait état mon père ayant sué sang et eau pour la rénover, il y a de nombreuses dépendances.
Nous sommes propriétaires de l’ensemble des bâtiments constitués d’une grange avec écuries.
De la maison des gardiens et d’un bâtiment qui servait de logements aux ouvriers agricoles et à leurs familles.
Nous avons vingt-huit ans tous les deux et nous nous sommes rencontrés lors d’une fête patronale ayant lieu dans un village voisin où il habitait.
Nous aidions à la vente d’objets de cultes avec maman car nous étions très croyantes surtout depuis que mon père nous avait quittés pour retrouver les cieux.
Il était le fils d’une noble famille sans bien de la région et qui avait vécu de petits boulots dans notre région, en faisant un ouvrier hors pair dans les différents travaux pour remettre des maisons en l’état.
Maman juste après notre mariage a commencé à tenir des propos incohérents et elle vit avec nous dans sa chambre au premier étage à regarder l’étang qui se trouve à l’arrière de notre maison.
Je la lève le matin et je la couche après un bain où Paul m’aide à la porter dans la baignoire pour que je la baigne.
Il y a 3 ans que nous sommes mariés et le bon Dieu manque à tous ses devoirs car nous essayons souvent espérant qu’il nous apporte ce que nous espérons le plus un .
Garçon ou fille, peu importe quand nous faisons l’amour sans faire de bruit car maman est dans la chambre voisine nous accepterons ce que la cigogne nous apportera.

Je dois dire que par moments je suis un peu frustré mais je vois mal quand je vais me confesser dire à notre curé que j’ai péché car mon mari m’a fait l’amour dans une position contraire à la morale.

- Émily, j’ai discuté avec Steve, il nous propose de nous aider à remettre en état des logements et de transformer notre domaine en chambres d’hôtes.
Nous avons tiré des plans et il est possible de faire deux logements dans la maison de gardien et quatre dans les logements des ouvriers agricoles.
Plus tard quand tout fonctionnera nous pourrions rénover la grange et les écuries afin d’acheter des chevaux.
Toi qui les adores, tu pourras les louer pour des promenades en forêt ou quand nous nous promenons nous ne rencontrons jamais personnes.
- Pour faire ces rénovations il va falloir investir et nous sommes sans travail avec simplement les aides de l'État.
- Il faut pour pouvoir amortir l’investissement deux choses, avoir deux logements loués une semaine entière ou quatre les week-ends et construire une piscine que je pourrais creuser moi-même avec Steve.
Nous sommes proches de Paris.
Avec une bonne publicité dans les livres spécialisés et des agences nous pourrions remplir la totalité des chambres.
Tu pourrais t’occuper de la restauration, n’oublie pas que tu as travaillé dans plusieurs restaurants ou tu as appris à cuisiner les plats régionaux quand il manquait du personnel.
Sans salaire jusqu’à ce que tout tourne, il est impossible de se planter.

Le prêt a la banque où Steve travaille nous a été accordé contre une hypothèque de notre domaine.
En huit mois et un travail de fou nous sommes prêts à ouvrir.
J’ai eu beau racler les fonds de tiroirs, la route en bitume à notre charge que nous avions oublié de compter afin que nos clients puissent venir jusqu’à nous et qui nous a été imposé pour avoir les autorisations d’ouverture, nous a empêché de faire la publicité.
Steve a monté un site internet ventant nos chambres et notre restauration.
Ça ne coûtait pas cher, mais ça lui a pris des nuits sans dormir.
Après quinze jours après le moment où nous avons ouvert aucun client n’a montré le bout de son nez.
J’ai mis des affiches avec des papiers découpés au ciseau avec notre numéro de téléphone dans les commerces de notre ville et des villes voisines.
Un soir nous avons reçu le premier coup de téléphone que nous espérions temps priant matin et soir pour qu’il arrive.
Réservation pour quatre personnes deux couples sans s pour le week-end.
La piscine est prête et la tonnelle où nous voulons faire dîner nos premiers clients est montée, surtout que la météo annonce un temps merveilleux.

Deux couples viennent d’arrivés dans une Mercedes et une Audi très haut de gamme.
Nous les mettons dans la maison de gardien mieux ombragé et plus fraîche en cette saison.
Il était 17 heures en ce vendredi soir et il est prévu qu’il reste jusqu’au lundi matin.
Nous avons envie d’ouvrir une bouteille de champagne mais nous n’en avons que six et il nous est impossible d’en racheter tant que ses clients n’ont pas payé leur week-end.
Le soir à 20 heures je les sers après avoir cuisiné des ingrédients achetés à la petite épicerie de notre village à crédit.
La patronne même si elle est sympa m’a prévenu que c’était la dernière fois si nous ne payons pas régulièrement, au moins à la fin de chaque mois.
Ils sont satisfaits de leur repas arrosé avec du vin de Touraine que Steve a sorti de sa propre cave.
Ils commandent une première bouteille de champagne et je rejoins Paul pour coucher maman.
J’entends sauter dans l’eau, je vais vers l’une des deux fenêtres mansardées de notre chambre que je venais d’ouvrir.
Incroyable, je remarque que l’homme et la femme qui sautent dans l’eau sont nus.

- Paul vient voir.

Paul arrive derrière moi et voit ce que je viens de découvrir.

- Dis-moi chérie, la femme dans la piscine est bien avec le mari de l’autre femme ?
- Oui la blonde avec le brun et la brune avec le blond, c’est comme cela qu’ils sont sortis des voitures et qu’ils sont allés dans les chambres quand nous portions leurs bagages.
- Faites attention s’ils nous voient, ils risquent de fuir sans nous payer les trois nuits.
Regarde, ceux dans la piscine s’embrassent et les deux autres les applaudissent,
La brune sur sa chaise défait les boutons de sa robe, chérie elle est épilée, ces contraires aux bonnes moeurs.
- Regarde le blond lui mets la main en haut de sa cuisse et non-dit moi que c’est impossible elle écarte ses jambes et il entre ses doigts en elle.

Pendant que tout cela se passe en bas de notre chambre je sens que Paul est plaqué contre mon dos pour mieux voir ce qu’il se passe et je suis obligé de reconnaître qu’il bande.
C’est la première fois que la verge de mon mari entre dans ma raie culière et je dois m’avouer que je mouille comme jamais je n’ai mouillé.

- Chérie j’ai envie de toi, écarte tes jambes.
- Pas comme cela, c’est mal.
- Pourquoi, regarde ces gens, ils échangent leurs partenaires ?
Regarde dans la piscine, l’homme est placé comme moi et je suis sûr qu’elle accepte de se faire prendre dans cette position, je t’en supplie j’ai trop envie.

J’hésite mais comme Paul la vision du couple ou je vois clairement l’homme tenir la taille de la jeune femme et lui administrer de grands coups d’avant en arrière me fais perdre la tête.
Je suis avec ma jupe noire pour le service avec mon petit tablier blanc et c’est sans m’en rendre compte que j’écarte les jambes.
Paul en profite pour écarter ma culotte et je sens entrer en moi.
Je sens comme jamais la verge être au fond de ma minette et les grands coups qu’il me met, imitant en cela l’homme dehors, rapidement m'aident à faire monter la température dans mon corps.
Un frisson malgré la chaleur parcourt mon corps tout au long de ma colonne vertébrale et sans que je maîtrise quoi que ce soit je mords ma lèvre pour éviter de hurler.
Paul est dans le même état d’excitation car en même temps que des gerbes de lumière arrivent à mes yeux il m’envoie ses gerbes de liquide dans mes profondeurs les plus secrètes en faisant sortir de sa bouche des sons qu’il a du mal à maîtriser.
J’ai envie de me reculer mais trop tard les deux couples tournent la tête et nous voient les regarder.

- Pouvez-vous nous apporter une deuxième bouteille de champagne, amenez deux coupes pour vous s’il vous plaît, nous sommes si bien chez vous ?

Paul sort de moi et je remets ma culotte à sa place, mes doigts touchent ma jambe en haut de mon intimité et je sens la liqueur de mon mari sur mes doigts.
Nous regardons si maman dort et nous descendons.
Je vais chercher les coupes et Paul amène la deuxième bouteille qui va assurer la recette de cette première soirée.

- Chéri, dit leurs que ce qu’il fond est mal.
Je suis mal à l'aise devant leur nudité surtout les hommes.

Quand nous approchons de la tonnelle la brune qui se faisait mettre des doigts dans sa minette est dos à l’homme et semble avoir sa verge en elle.
Quand j’avance ce que j’entends me fais rougir.

- Continu je te sens bien, j’aime quand ta queue va si loin en moi.

J’apprends des mots en peu de temps, queue, chatte, vulve et autres pieux moi qui est toujours entendu maman me parler de minette ou d’intimité pour nous les femmes et pour les hommes j’ai entendu une fois qu’elle parlait de la verge de mon père.
Contrairement à moi la brune prend aussi du plaisir et c’est sans aucune pudeur quel cri qu’elle jouit et même qu’elle a un gros orgasme qui monte en elle.

- Florentin et Clarisse, le champagne frais est là, venez trinquer avec les propriétaires, vous retournerez à l’eau après…